top of page

Les mains dans le poisson, du matin au soir, à évider-écailler : Charlie commence à s'y faire, l'habitude. Et puis, au Grand Magasin, tout le monde l'aime bien, Charlie. La jolie Natacha, du rayon fromagerie et dont il rêve en secret, le lui répète assez : c'est un gentil garçon. Pas dégourdi, un rien naïf, mais gentil. Avec Émile, du niveau zéro, celui de la poubelle, il approchera les coulisses du système... Et si, pour un être simple, tout est noir ou blanc, les clients, les produits, les collègues, ils forment une famille, comme Charlie n'en a jamais eu. De celles qui gâchent tout, éventuellement. N'est pas toujours imbécile celui que l'on croit...

" La force du récit, et sa poésie, résident pour beaucoup dans sa tonalité : c'est la voix de Charlie qui nous porte, une voix entière, maladroite, pleine encore des rêves de l'enfance, de ses joies, de ses tristesses. " Le Courrier (Suisse)

" Après l'avoir observé à travers le regard innocent mais en même temps méticuleusement documenté de Charlie, vous ne pourrez plus voir le rayon poissonnerie de votre supermarché avec les mêmes yeux. " Véronique Rossignol – Livres Hebdo

l'Oeil de l'Espadon

CHF4.00Prix
Quantité
  • Arthur Brügger

  • Poche

bottom of page